Décryptage de l’Image - Giulia Biagioli Le premier effet est presque cinématographique. Une lumière pâle, des tons désaturés, un décor minimaliste aux lignes graphiques. Et au centre, une posture tendue, sculpturale, captée dans un moment

Décryptage de l’Image  Un corps allongé sur un sol de bois. Une lumière douce, diffuse. Une ligne verticale qui coupe l’image en deux. À gauche, le reflet flou d’un corps ; à droite, sa présence

Décryptage de l’Image –Vanessa Face à cette image, le temps suspend sa course. Tout est figé, comme dans un rêve éveillé. Une silhouette immobile, dressée au centre d’un nuage de lumière rose et violette, drapée

Décryptage de l’Image – Eloïse Ce portrait ne montre qu’un fragment. Et pourtant, il dit tout. "Une moitié de toi" — ce titre est à lui seul une porte d’entrée dans l’image. Ce n’est pas

Décryptage de l’Image – Hind Il est des images qui se lisent comme un poème visuel. Celle-ci en fait partie. Intitulée Horloge biologique, elle convoque le temps, le corps et la lumière dans un

Décryptage de l’Image – Dianna Une pose simple, un fond neutre, une robe noire. Et pourtant, cette image capte l’attention par sa précision silencieuse. Ce n’est pas une photographie démonstrative — c’est un portrait qui

Décryptage de l’Image – Margaux Une image en apparence simple. Une femme debout, silhouette élégante, regard baissé. Et pourtant, derrière cette sobriété visuelle, se cache une construction d’une précision absolue. Rien n’est laissé au hasard

Décryptage de l’Image – Margaux Dos tourné, pas léger, robe blanche. Ici, rien ne s’impose. Tout s’efface doucement. Cette image n’est pas là pour montrer, mais pour laisser deviner. Le corps s’éloigne, dans un mouvement

Décryptage de l’Image – Anahita Cette image casse les codes du portrait classique dès le premier regard. Le point de vue en plongée impose une lecture inhabituelle du corps, plus graphique que narrative. On

Décryptage de l’Image – Katia Ce portrait ne cherche pas à plaire. Il s’impose. Droit, frontal, presque hiératique. Le corps devient architecture, la chevelure devient matière, et le regard — légèrement surélevé — nous regarde